Antécédents familiaux de la schizophrénie

Les causes réelles de la schizophrénie restent encore méconnues. Pourtant, plusieurs scientifiques pensent que les antécédents familiaux peuvent être des origines majeures. Même si cette étude n’est pas encore officielle, les spécialistes ont constaté ce fait dans la plupart des cas de schizophrènes. Les facteurs génétiques peuvent ainsi être des causes de cette maladie mentale.

Un risque élevé pour les personnes avec antécédents familiaux

Des scientifiques ont affirmé que les personnes qui ont des antécédents familiaux de schizophrénie sont exposées à de grands risques. Non seulement, ces personnes risquent d’atteindre la schizophrénie, mais elles peuvent également subir d’autres troubles psychiatriques au moment d’un élément déclencheur. Cela est de plus en plus risqué pour une personne ayant un parent de premier degré schizophrène. Outre les troubles de mémoire, de pensée et d’émotions, des troubles de consommation alimentaire peuvent accompagner la schizophrénie. La boulimie en est un cas fréquent chez les schizophrènes.

Les interactions de la schizophrène

Si les antécédents familiaux de la schizophrène sont des risques probables d’atteindre la schizophrène, les scientifiques pensent également que les actions ou le vécu d’une mère lors de sa grossesse pourrait entrainer la schizophrène. Ainsi, une mère victime de maladie métabolique peut avoir un enfant schizophrène dans le futur. Ces cas sont pourtant moins fréquents. Cependant, une personne qui a subi des traumatismes graves durant son enfance pourrait être victime d’une schizophrénie lorsqu’elle atteindra l’âge adulte. Par ailleurs, la consommation de cannabis est un facteur réel de la schizophrénie. Elle pourrait déclencher cette psychose durant l’adolescence.

Traitement et évolution de la schizophrénie

La schizophrénie demande un traitement à base de neuroleptique. Cela permet d’envoyer des messages au cerveau et de limiter les actions déplacées effectuées par le schizophrène. Les médicaments se déclinent en atypiques et classiques. Toutefois, le malade doit être sensibilisé et être au courant de ses problèmes avant de suivre la thérapie. La schizophrénie se guérit pas, mais se prévient. Dès qu’on rencontre des signes anormaux, il est recommandé de consulter un médecin. Des tests psychologiques et des imageries cérébrales permettent désormais de dépister cette maladie mentale. L’accompagnement par la famille est très important pour une personne souffrant de schizophrénie.